Les voilà bien les "libéraux", eux que la contradiction excite comme un chien qui se mord la queue. Ils prônent la mobilité, et dans le même temps conduisent les travailleurs à s’endetter pour des logements qui ne vaudront plus rien après qu’ils auront percé la bulle immobilière quand elle sera mûre.
Sur ce plan, Sarkozy n’est qu’un suiveur : il n’est même pas un "bon libéral". Avec lui, les "réformes" ne sont ni faites ni à faire. En guise de réformes on n’aura qu’un vaste gâchis. Au fond, pour les amis de Michel Santi, c’est peut-être ça une bonne réforme pour la France.
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