Comment pourrait-on s’offusquer que les groupes qualifiés de sectes puissent être auditionnés. De quoi a t on peur ? Pourquoi ne permettrai t on pas à un groupe qualifié de sectes de répondre aux accusations portée à son encontre ? Est on encore en démocratie ? A t on encore le droit de se défendre contre des accusations ? Ou alors accorde t on tous les droits, et cela sans aucune responsabilité, aux commissions et associations qui ont déclaré la guerre aux « sectes » ? Ces commissions et associations auraient elles quelque chose à craindre que des « sectes » puissent s’exprimer ?
L’UNADFI est dors et déjà partie en guerre contre un parti politique minoritaire en le qualifiant lui aussi de « secte ». Ou va t on comme cela ? Ou cela s’arrêtera t il ?
En faisant mine de « s’interroger » sur la possibilité d’auditionner des « sectes », l’UNADFI dévoile une fois de plus son idéologie totalitaire de contrôle social et de contrôle de la pensée. Cette « interrogation » (pour ne pas dire plus) est d’autant plus étonnante, que l’on sait très bien que par le passé des groupes respectables ont été accusé à tort, ce qui a été reconnu après coup, mais malheureusement bien après que le mal n’ai été fait.
Je trouve donc la proposition de ce M. Machelon tout à fait juste, quand bien même je n’ai strictement aucune sympathie pour ce M. Sarkozy et ce qu’il représente.
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