C’est vraiment dommage que les grévistes aillent plus se réunir dans une fête triste qu’à une grève effective, complète, et longue. Manque de courage, de conviction, ou les deux. Car une grève de ce type serait inespérée : quel meilleur moyen de réduire la dette de l’état que de faire l’économie des salaires de la machine étatique ?
Il y aurait d’autres avantages : on verrait ce qui est vraiment utile dans la bureaucratie, et, après un temps d’adaptation, les gens trouveraient des solutions de remplacement, des vrais emplois seraient créés.
Mais, hélas, les organisateurs de ces modernes grandes messes savent jusqu’à quel point ils peuvent racketer la société.
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