Une solution serait d’instituer le délit (pénal) de clandestinité (entrée et séjour), auquel cas les droits de l’homme dont pourraient se prévaloir les illégaux seraient ceux qui valent pour n’importe quel délinquant emprisonné, et pas davantage.
Quant aux demandes d’asile, elles devraient obligatoirement être introduites dans un pays limitrophe de celui d’où le requérant est originaire, ce qui pemettrait de simplifier considérablement les choses tant pour le demandeur que, le cas échéant, pour le pays d’accueil.
Il conviendrait aussi de fixer dans la loi l’objectif de contingenter l’immigration "alterculturelle" qui met d’ores et déjà sérieusement en péril l’homogénéité du peuplement du pays. Ce dont le général De Gaulle, à la différence de ses indignes héritiers, était parfaitement conscient : "
« C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne... »
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération