@ Proudhon
Comme je l’ai écrit précédemment, le communisme bolchévique, puis stalinien, le nazisme, furent des
idéologies totalitaires néfastes. Il a été juste de les combattre. Les
utopies pacifistes n’ont mené qu’à des reculades - cf. Munich. Mon
engagement dans l’armée s’explique dans ce contexte (dans les années
50, aucune personne cherchant à s’informer ne pouvait ignorer les camps
d’extermination des uns et des autres).
Et j’ajoute que, dans le milieu militaire de mon enfance, j’ai été profondément marqué par des officiers, je ne vous en citerai qu’un : le général Ballo, proche de ma famille, dont l’épouse fut la marraine de ma soeur, qui est revenu des camps de concentration nazis à l’état de squelette.
Ces choses-là, ça ne s’oublie pas.
Et ce qui ne s’oublie pas non plus sont les Déat, Doriot et autres fascistes français favorables au pacte germano-soviétique dont vous ne savez peut-être pas de quel bord ils venaient.