@ l’auteur :
"Il existe seulement deux exclusions : « lorsque l’enregistrement ou
la diffusion résulte de l’exercice normal d’une profession ayant pour
objet d’informer le public ou est réalisé afin de servir de preuve en
justice ».
Les journalistes sont donc exclus de ce texte, mais du bout des lèvres. À eux de prouver qu’ils agissaient dans l’exercice de leur profession. Pour un photographe de presse free-lance, pas évident !«
Je ne vois pas en quoi les journalistes sont exclus de ce texte, puisque leur profession est précisément d’informer le public.
Par ailleurs, juste par curiosité, en dehors de ces deux motifs, quels sont les justes causes qui peuvent justifier le fait de filmer une agression ?
Personnellement, en dehors d’une utilisation judiciaire, je ne vois pas pourquoi j’irais filmer une agression. Mais ça n’engage que moi, et il y a peut être d’autres bonnes raisons, c’est juste que je ne les vois pas là tout de suite, vous en avez peut être à proposer.
Par contre, ce qui peut poser problème, c’est que la limitation à l’usage judiciaire pour un particulier interdit toutes diffusions de »dénonciation en place publique sur youtube« de faits que la Police (ou la justice, ou le gouvernement) voudraient étouffer. Il faudrait que le particulier passe par un pro pour la diffusion, et on connait les liens des »pros" avec le pouvoir.
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