« Frissonne sous la volupté joyeuse de la lumière,
O homme ! Homme à moi !
Viens, surgissant de la nuit de Pan,
Io Pan ! Io Pan !
A travers les mers, viens de Sicile et d’Arcadie !
Tel Bacchus, vagabondant avec ta garde de faunes,
De panthères, de nymphes et de satyres,
Sur un âne d’un blanc de lait.
A travers les mers, viens à moi, à moi,
Viens avec Appolon en robe nuptiale
(Berger et sorcière)
Viens avec Artémis, chaussée de soie,
Et lave ta cuisse blanche, ô Dieu splendide,
A la lune des bois, sur le mont de marbre,
Dans l’eau creuse et neuve de la source ambrée... »
Aleister Crowley (Hymne à Pan)
Edward Alexander Crowley (1875-1947)
jeune il connut un exhutoire dans l’écriture de poèmes , et se montra prolifique dans ce domaine, influencé par Baudelaire, Swinburne, Keats
A-t-il réussi ? Personne ne le sait, mais un fait est évident, des phénomènes inexplicables se déclenchaient dans le manoir, Aleister y voyait une alliance avec les entités, nous allons le retrouver avec un nouveau nom : Frater Perdurbado. L’ambiance se dégrada au sein de l’Ordre, on y distingua deux clans, l’un à tendances chrétienne et gaëlique qui suivit Yeats et l’autre à tendances païenne et magico-sexuelle, nommée l’Astrum Argentum, Aleister Crowley en était l’Imperator.
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