Je connais ce problème, mais de manière très superficielle.
Et je croyais que, dans la grande majorité des cas, la Française épousant un ressortissant étranger et prenant la nationalité de ce dernier ne perdait sa nationalité française qu’à la condition expresse d’en faire la demande soit au corps consulaire soit à la justice française.
Il semblerait toutefois que les choses ne soient pas toujours aussi simples et qu’elles aient été rendues encore plus nébuleuses par la Convention de 1963 du Conseil de l’Europe. Une clarification serait par conséquent la bienvenue. Puissent les travaux de Patrick Weil contribuer à cette clarification et éviter ainsi à de nombreuses femmes chaque année de se trouver dans de dramatiques impasses administratives.
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