A la dérive, voilà où nous allons. La pauvreté, la misère amènent les femmes à « incuber » pour d’autres, c’est un désastre. Elles vont vieillir prématurément à force de grossesses, mourront pour beaucoup sans soins et sans affection. Quelle triste réalité, comme pour les dons d’organes, celui qui prend est plus méprisable que celui qui donne, car le premier détient le pouvoir que lui procure l’argent ; il a l’impression qu’en monnayant un don qui n’est pas un, qu’il ne doit rien de plus à celui qui tronque sa vie. Pouah.
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