Bonjour, je cite un extrait de votre exemple :
" En cela, internet est un médium formidable et le « peer to peer » (P2P) son outil le plus efficace.
Grâce au « piratage » de nos œuvres, nous avons obtenu une exposition médiatique inespérée.
En
plus d’avoir vendu plus de 5000 copies de notre second album - une
performance rare pour un groupe autoproduit - notre musique s’est
retrouvée en bande-son d’émissions TV (M6 en France, CBS aux
Etats-Unis) et en programmation sur de nombreuses radios étrangères.
Cette renommée naissante est directement liée au « piratage » de nos chansons.
Le
jour où nous avons constaté que nos œuvres avaient été placées sur les
réseaux majeurs de téléchargement « illégal » (Emule, BitTorrent …),
nous avons remarqué une hausse constante des ventes d’albums et de
t-shirts sur notre site internet, les achats de morceaux en ligne
(Itunes, MusicMatch …) se sont multipliés et les visites ont explosé.
Il semblerait que « les pirates » achètent quand même de la musique."
L’histoire du piratage n’est qu’un bouc-émissariat largement utilisé par nos législateurs pour voter de nouvelles lois liberticides et consumméristes. cette loi encouragée par de puissants lobbyistes cherche surtout à protéger la pornographie qui souffre d’Internet gratuit. http://www.agoravox.fr/culture-lois...
Personnellement, en conclusion, j’ajouterais qu’il faudrait laisser parler les musiciens...
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