Disons que l’esperanto n’est pas ma préoccupation principale, j’admets cependant que l’on puisse s’y passionner. Par contre, je considère Viktor Bout comme un personnage captivant. Ce qui ressort de cet article, c’est qu’il n’y a rien d’anormal à s’intéresser à la langue, y compris l’esperanto et être un trafiquant notoire. Cela dit, comme le dit Cage à la fin du film, les pays honorables ont besoin de gens comme lui, pour faire non officiellement certaines opérations. Il y a eu un reportage très documente sur ARTE concernant Bout.
Et puis on peut très bien concevoir des Nazis philatélistes, des pédophiles connaisseurs en brie et en Chambertin et des sarkozistes qui arrivent à comprendre un texte un peu complexe et sans fautes de français.
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