En conséquence, je déclare être un ami de Julien Coupat.
Messieurs de la DCRI, je m’engage à vous révéler mon nom et l’endroit où vous pourrez m’interpeller sur simple mail.
Vous n’auriez jamais dû faire ça. Les « services » ne chercheront même pas à connaître l’initiale de votre prénom et, par là, vous comprendrez qu’ils vous considèrent comme une insignifiante nullité.
C’est un camouflet que vous auriez pu vous éviter