Un jour j’ai rencontré, à Vienne (Autriche) le Président de cette République, il se nommait Franz Jonas, et nous nous sommes entretenus en ..... espéranto. J’aurais pu lui parler allemand aussi, mais l’espéranto est la langue du respect de l’autre. Voilà ce que tous les hommes politiques devraient comprendre au lieu de devenir des carpettes en faisant de l’aplaventrisme en anglais. Et demain en mandarin, je présume ?
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