« À quoi sert le parloj ? »
À ce stade, ami lecteur, tu es en droit d’attendre une argumentation sensée du type « En soi, à rien, mais puisque c’est une langue, il permet de converser avec des gens de culture et de savoirs différents. Ainsi, il faut savoir dépasser le stade de l’interrogation sur son utilité, car plus il y aura de locuteurs de l’e-o, plus on trouvera de sujets de discussions, et plus il sera utile, par un simple effet de cercle vertueux. On peut bien évidemment rétorquer que pour ça, l’anglais est déjà en place, mais l’apprentissage de l’e-o est un loisir comme un autre, ne nous en prenons pas aux idéalistes. »
Mais non, ami lecteur, tu es dans un article de Krokolidio, l’Article Dont Tu Es la Victime ! C’est pourquoi tu n’auras pas mieux que « L’anglais est caca, il viole nos chèvres et extermine nos femmes, et cause la pauvreté du tiers-monde et de la France, et... Hein, je suis hors sujet ? mais non voyons. Ah, et puis l’esperanto se propose comme langue véhiculaire. Oui, comme l’anglais, sauf que personne ne le parle et qu’il n’a aucune culture. Mais sorti de là, l’e-o c’est mieux que le vilain anglais qui sent sous les bras ! ».
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