En bateau je me sers constamment du speedomètre et du GPS pour évaluer la vitesse et le sens du courant. J’imagine qu’en avion, les pilotes en font autant. D’autant que les courants aériens sont intégrés au plan de vol, je n’imagine pas un instant que si les informations fournies par l’une des trois sources était délirante, les pilotes ne le sauraient pas : le commentaire de John Lloyds à ce sujet est éduifiant.
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