Du foutage de gueule en règle les dés sont pipés les journalistes, les commentateurs, les analystes sont pro sionistes comment voulez vous prétendre à l’équilibre et la mesure.
La presse Française territoire occupé par le sionisme, interviewer l’ancien chef du bétar France reconvertis dans la défenses des intérêts du sionisme c’est très crédible
"DECRYPTAGE - Frédéric Encel, politologue et auteur de « Horizons géopolitiques » (Seuil), revient sur la portée du discours prononcé dimanche par le Premier ministre Israélien...
Benjamin Netanyahu a appelé dimanche soir les Palestiniens à une reprise des pourparlers, dans un discours de politique étrangère,
près de Tel-Aviv. Il a posé comme condition à un futur Etat palestinien
sa démilitarisation ainsi que la reconnaissance par la direction
palestinienne d’Israël comme Etat du peuple juif.
Benjamin Netanyahu a prononcé le terme d’« Etat » palestinien lors de son discours. Que cela va-t-il changer concrètement ?
A court terme, ce discours a permis à Netanyahu de gagner du temps face
aux attentes de l’administration Obama. Il a employé le terme que
voulait entendre le président américain. En prononçant ce discours, le
Premier ministre israélien a évité deux écueils. Le premier est la
montée en pression des Etats-Unis, après le discours, le 4 juin dernier, de Barack Obama à l’université de Caire.
Deuxièmement, cela lui a permis d’éviter une chute au sein de sa
coalition. Benjamin Netanyahu a dû négocier dur, notamment avec le
Likoud (droite conservatrice israélienne, ndlr). Il s’est donc assuré
un sursis sur le plan intérieur.
Est-ce qu’on peut parler d’une véritable avancée dans le processus de paix ?
C’est une avancée relative dans le processus de négociations. Benjamin
Netanyahu a surtout bien négocié sa position. Maintenant qu’il a fait
un pas en avant, la balle est dans le camp palestinien. Israël ne
bougera plus. Netanyahu s’est assuré une marge de manœuvre. Il attend
maintenant que le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas,
se prononce. Mais Netanyahu a exclu un gel de la colonisation
israélienne et un retour des réfugiés palestiniens poussés à l’exode
lors de la création d’Israël en 1948. Des conditions inacceptables pour
les Palestiniens.
En prenant une telle position, Benjamin Netanyahu ne s’est-il pas mis en danger vis-à-vis de sa propre coalition ?
S’il peut y avoir des scissions avec la droite au sein de sa coalition,
Netanyahu peut compter sur les modérés, sur Kadima, pour rééquilibrer
le débat. Mais dans son discours, Netanyahu a parlé d’un Etat
démilitarisé. Et ce n’est pas cela qui pose problème au sein de sa
coalition. Le problème sera celui des implantations de colonies en
Cisjordanie. Mais sur ce sujet, Netanyahu n’a pas dit un mot. Ce qui
explique les réactions mitigées du côté des Européens qui ont jugé
« importante l’avancée » mais encore « insuffisante »."
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