« La religion est définitivement morte et ce sont les croyants qui l’on tuée et c’est une bonne chose. »
Non, ce n’est pas une bonne chose. C’est un désastre, une catastrophe, une tragédie.
Les Lumières, qui se la pétaient « esprits forts » pour impressionner leurs gonzesses, n’ont rien apporter aux hommes qui les rendent plus heureux, et rien non plus qui les rendent moins malheureux. Déjà cela suffirait à les condamner.
Mais ils ont fait pire. Ils ont privé l’homme des espoirs et des consolations de la religion, avec comme consléquence lointaine l’élévation du pognon au rang de divinité, dont le culte, férocement individualiste, se traduit par un consumérisme toujours recommencé pour combler la vacuité toujours recommencée d’une vie dénuée de sens.
Le psy, l’astrologue et le marabout, qui sont riches, ont remplacé le curé, qui était pauvre, et l’existence de l’humain, plutôt que par les cycles de la nature et par les fêtes religieuses qui soudaient la communauté autour des mêmes valeurs et des mêmes croyances, est rythmée par des événements vulgaires et insignifiants abondamment répercutés par la télévision, opium du peuple nanti.
ET il y en a qui trouve que c’est une bonne chose.
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