Voilà la raison pour laquelle les « anti-ebooks » décrivent triomphalement la mort programmée de cette nouvelle technologie. C’est aussi la raison pour laquelle je suis optimiste quant à l’évolution future de notre conception de la chose : Quand nous en serons au Kindle 4 et que les américains prendront la peine de s’occuper de nous, quand nous verrons débarquer le plastilogic 2 et que l’entreprise de Dresde diffusera son stock, quand les japonais viendront jusqu’à nous avec la couleur et que les prix se seront enfin ajustés, notre envie d’investir dans l’outil aura alors bien évolué. Actuellement j’ai presque une dizaine de milliers de livres au format pdf qui piaffent d’impatience enfermés dans leurs répertoires respectifs et je suis persuadé qu’ils n’attendront pas 10 ans avant de sortir de leur inutile prison. Lire avec un portable, difficile, bien que de plus en plus constant, alors qu’en sera-t-il du e-paper secondé par une technologie adéquate. Je suis convaincu qu’il n’y aura plus d’hésitation. Ce sera la libération de tous les fétichismes, de tous les tabous et de toutes les frustrations. Vive le livre numérique !
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