Je vois mal en quoi une loi particulière qui consacrerait un groupe particulier serait plus utile que la simple défense des droits individuels de tout un chacun. De plus ces pseudos droits collectifs entraînent vers une concurrence des victimes où, comme d’habitude, se sont les groupes les mieux organisés qui tirent les marrons du feu au détriment de ceux qui n’auront pas droit à leur texte particulier.
Je trouve un peu bête d’interdire la burkha (enfin le machin), mais en contrepartie de cette liberté, j’aimerais bien pouvoir déguster un petit blanc à la terrasse d’un café à Téhéran ou Ryad. Et si nos manières ne leur conviennent pas chez eux, je ne vois pas pourquoi les leurs nous conviendraient. Une stratégie de collaboration n’est gagnante que si il y a réciprocité. Je crois que nous en sommes très loin, et les sociétés ouvertes doivent se prémunir contre les sociétés fermées. Au risque bien sûr de perdre notre liberté. Cruel dilemme.
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