Une éducation à la désorientation ? Oui ! L’éducation n’est-elle pas le reflet de la société ?
Le problème entre histoire et objectivité, c’est l’erreur commise par l’histoire qui, s’efforçant d’être objective (avec honnêteté), nie l’existence de tel ou tel fait à partir du moment où elle ne trouve pas de « preuve ».
Imaginons un enseignement transmis simplement oralement depuis des millénaires... De bouches à oreilles, ce savoir se transmet - disons pour prendre un exemple : de l’Inde vers la Grèce - à un autre peuple différent (historiquement, sociologiquement et géographiquement) qui lui, dans l’air du temps, l’écrit et le transmet de manière écrite. Trouvant les preuves, l’historien valide objectivement le fait que ce savoir est hellénique et non brahmanique... Vous me suivez ?
Il existe un savoir de l’Histoire (avec un grand H) que l’historien ne peut seulement pas imaginer tant il est bloqué et formaté par cette pseudo identification scientifique des causes à la sauce de l’objectivité.
Pour ce qui est de la philo au bac, c’est une bonne chose, certains commentaires l’on soulevé : ce qui compte c’est l’expression écrite d’une pensée ordonnée puis couchée sur le papier ; rien de plus.
Enfin le paradoxe n’est qu’une contradiction apparente qui résulte de la combinaison d’un mental concret (rationnel, cartésien et linéaire : causalité) qui se confronte à une réalité non-linéaire, cyclique, rythmique et vibratoire.
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