Excellente analyse des derniers jours de Louis Renault.Faut-il ajouter tout de même qu’il n’a pas attendu d’être cueilli chez lui comme bien d’autres mais qu’il s’est présenté volontairement devant son juge,lequel n’a pas hésité à le faire incarcérer illico sachant parfaitement qu’il l’envoyait à la mort ;ce même juge qui,les jours suivants n’a pas tenu compte des appels au secours lancés par son épouse ;enfin l’appareil judiciaire n’a pas autorisé son médecin de procéder à des radios post mortem ,radios qui n’ont pu être faites qu’à travers le cercueil et qui ,si elles avaient été réalisées directement sur le corps auraient mis en évidence certains passages à tabac nocturnes.
Curieux quand même :le non lieu de 1949 n’incluait pas Louis Renault ?
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