@ Antenor
Cela m’étonnerait beaucoup qu’on puisse assimiler Esus à Cléopas, même si on rajoute un J ou Y au mot. Esus en Bourgogne ? Je ne vois pas ? A l’époque de Tibère et de Sacrovir ? Je ne vois rien de cela dans le pays éduen mais chez les nautes de Paris, pourquoi pas.
Les évangiles de Jean et de Luc ont été écrits vers l’an 30 après J.C. soit quelques 80 après la disparition de Divitiac. Cleopas apparait avant ces rédactions. C’est un nom comme Marie est aussi un nom, des noms qui franchissent allègrement la durée de vie d’une génération. En fait, il faut comprendre que l’espérance messianique localisée à l’origine dans le pays éduen s’est aussitôt reportée sur la Palestine après la conquête de César. Esus, quant à lui, a disparu sans rien enfanter d’important.
La cathédrale de Chalon, le plus beau temple de l’univers, temple d’Apollon, selon Eumène, était doté d’un tympan figurant un soleil, d’après une médaille. Il n’y a dans les chapiteaux que du judaïque avec toutefois une espéranse messianique de type essénien avec un personnage nimbé pouvant être un Cléopas. Dans un chapiteau, la représentation d’un empereur gaulois et encastré dans un mur voisin, l’empereur Julien.
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