c’est simple il y a la loi , et il y a la coutume.
la coutume , la politesse veut qu’on enlève tout couvre chef quand on entre dans un lieu couvert par exemple. Ce n’est pas obligé , mais c’est une marque culturelle et de politesse.
La france a beau être « laique » , les jours fériés , notre calendrier , la façon dont nous nous comportons en général correspond à notre héritage « chrétien ».
Quand tu vas dans un pays étranger , soit tu fais le porc et tu t’y conduis comme chez toi , soit tu es respectueux des rites et coutumes du pays visité et tu te fais discret. Tu ne vas pas te balader en short ou en minijupe à Téhéran ou Bagdad , et tu vas être discret dans l’exercice de ta foi chrétienne au Soudan... et bien la c’est pareil.
La Burqa n’est pas un choix pour les femmes, celles qui l’affirment sont soumises à leur mari et ne vont bien entendu pas le contrdire en public. La Burqa est un outil de soumission pour la femme , et une femme élevée dans la soumission trouve sa condition normale. C’est la même méthode qui est utilisée dans un contexte d’esclavage , pour l’esclave , être inferieur à son maitre est normal , surtout si il a toujours vécu de cette manière.
Combien de femmes portant la Burqa ont une activité professionnelle en France ? en dehors de la communauté musulmane ? aucune , il est déja difficile de trouver un boulot avec un voile simple sur la tête , il est impossible de trouver un taf avec une burqa , et donc d’être réellement indépendant ...
la burqa est une prison sociale et spirituelle pour la femme , si certaines la portent volontairement , c’est qu’elle y ont été conditionnées.
La burqa va à l’encontre du droit d’égalité homme femme car elle empeche tout simplement la femme d’avoir une vie sociale indépendante de son mari.
Elle n’a rien à faire en France , et les musulmans se doivent d’honorer leur culte avec discrétion puisque l’on n’est pas en terre musulmane ici , comme les chrétiens se font discrets dans les pays musulmans.
Ceux qui croient encore à une universalité et à l’internationalisme oublient notre histoire et son poids encore présent dans le subconscient collectif.