WALLÂDA
DE CORDOUE
(de) ;
et de l’Anté-islam...
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(Je
sais ce que je suis grâce à ce que nous sommes tous, c’est pour
cela qu’aucune femme ne peut me cacher ni ses cheveux ni son visage.
Crab)
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La
princesse Wallâda de Cordoue
(1),
avait inspiré à son amant, le vizir Ibn Zaydoun, ses meilleurs
poèmes : « Bonheur ! Corps contre corps enlacés ; bouche contre
bouche écrasées. Pur délice ! » Et, quand vint la séparation : «
Tu t’es éloignée ; je me suis éloigné. Ni nos cœurs n’ont guéri
; ni nos larmes n’ont séché.
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Notes :
l’anté-Islam, contrairement à ce que l’on lit trop
souvent, était bien loin d’être une période barbare ; en tous cas
pas dans les villes arabes.
.
(1)
Elle
ne fut pas lapidée - la lapidation pour adultère, à
l’époque, est une peine biblique.
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