Les « MODERNES » sont friands de ces débats : « seins nus ou pas », « burqa or not burqa », et j’en passe.
Oui, ils EN-FILENT, de leurs métaphores d’occasion !-la mienne, je la glisse entre les fesses de la jolie dame sur la photo d’au-dessus !
Métaphores... oui !... car, tout ceci n’est que prétexte à fantasmes, à comparaisons !
On « poétise » la vie, on s’éloigne de sa réalité !
La lutte des classes n’est pourtant pas un vain mot, et il y a plus importante sociologie que celle d’un Kaufmann... à propos des seins nus, des repas familiaux dans la cuisine et autre princes charmants.
Tout est MINIMALISTE désormais :
-la sociologie donc, dite microsociologie !
-l’écriture, dite écriture blanche, et les petits plaisirs delermien à découvrir : première gorgée de bière... cueillir des mûres... se tripoter la bi.. -non, je plaisante !
-la politique devenue show à l’intérieur du spectacle même.
Et caetera, et caetera...
Bref, notre société semble bien s’emmerder sec pour ne déballer que des choses insignifiantes.
Avec un peu de chance, en sachant qu’en 68 « la France S’ENNUYAIT », sommes-nous en droit d’espérer ?
Plutôt que ces seins que pour ma part j’adore -je prie chaque soir pour ces seins-là !- et qui gagnent demeurer un peu cachés -l’érotisme est dans le secret !-, j’aimerais qu’un jour on nous parle de la VIE... la vraie.
La Vie dans le débat public, donc... et le PLAISIR réservé à la sphère du Privé... et, au bout du compte, malgré ce qu’on le croit, avec pareil principe nous aboutirons à l’effet inverse escompté : à savoir le retour de la légèreté.
