La loi des partis, c’est la loi du plus fort. Le plus gros rafle toute la mise, et les petits sont bien obligés de s’agréger aux gros pour « avoir une place » sur la liste des candidats présentés (entendez, une chance d’avoir une place d’élu, puis une sinécure payée par la République). C’est pourquoi De Gaulle était opposé à la proportionnelle, qui encourage ce type d’ararngements internes aux partis.
De ce côté, la politique de l’UMP est claire : absorber tous les petits partis dits « droitiers », et dézinguer toute la crédibilité du plus gros de partis « de gauche » à savoir le PS. Comme ça, plus personne ne voudra s’allier au PS, il ne restera plus que l’UMP, avec sa propre droite, son propre centre (« nouveau » !), sa propre gauche (Borloo, etc.), et en face quelques groupuscules.
C’est-à-dire le Parti Unique, avec ses « colombes » et ses « faucons », comme du bon vieux temps du Soviet Suprême.
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