Afin de donner un rebond aux théories de Monsieur, rappelons qu’à la lecture des conclusions des expertises de 1927 par le laboratoire d’identité judiciaire de Lyon, il apparaît que :
- les objets sont répartis au hasard sur le site
- certaines tablettes d’argile sont solubles dans l’eau (excluant donc qu’elles aient pu se conserver dans le sol humide du bourbonnais pendant 15 000 ans),
- qu’une partie des os gravés sont des os... frais,
- que certaines gravures ont été exécutés avec un instrument en métal !
- qu’il y a même des fragments de textiles modernes dans le sol
Des examens opérés entre 1974 et 1979 donnent des datations contradictoires :
- Par le carbone 14 : 17 000 ans av. J.-C. pour quelques os gravés, mais 1900 ap. J.-C. pour une dent placée dans une urne décorée !
- Par thermoluminescence : sur une trentaine d’objets en céramique, certains entre 900 av. J.-C. et 300 ap. J.-C., et d’autres en plein Moyen-âge !
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