Le problème de l’affaire « google/ BdF », c’est qu’on assiste a la fin (en douce) de l’exception culturelle et au passage au tout commercial de la culture.
Deja l’affaire HADOPI par ses pseudos justificatifs, exigeant la remuneration des droits d’auteur (dont on sait maintenant avec l’affaire beatles/sony/jackson qu’il s’agit d’un bien achetable et revendable) avait ouvert une brèche dans nos principes culturelles.
Il suffit de voir comment google gere ses pages de recherche, privilegiant jusqu’a l’over-dose, les annonceurs payants, pour imaginer ce que pourrait etre une gestion commerciale de la BdF.
Par exemple : essayer de chercher le dernier driver de votre imprimante, et vous ne trouverez votre fichier qu’apres plusieurs pages de sites de revendeur d’imprimante, alors imaginez une recherche d’un extrait des « Miserables », vous devrez vous farcir des pages et des pages de vendeurs par correpondance.
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