« En fait, seul l’enfant qui arrivé à l’âge adulte est capable de travailler à un niveau de rémunération suffisant pour être imposable est utile à la nation. Les autres peuvent s’avérer un poids social et économique. S’ils ont dû subir au minimum dix ans d’Education nationale au rabais et son coût pour devenir de quasi illettrés, ils sont loin d’être une opportunité pour la France. Et s’ils travaillent à des postes subalternes et ne créant pas de plus-value, le ratio entre ce qu’ils coûtent et ce qu’ils rapportent est défavorable à l’Etat. Prestations sociales, chômage, sous- emploi ou emploi non qualifié, délinquance et insertion sociale insuffisante entraînent plus de dépenses que de bénéfices. Donc, en dehors du plaisir éventuel qu’il peut donner à ses parents, l’enfant n’est rentable à la société que s’il est suffisamment éduqué et que cette éducation lui permette d’occuper un emploi créant du PNB, sans entrer dans l’emploi assisté, cache misère d’un chômage déguisé. »
Je trouve votre prose quelque peu réductrice et relevant d’une vision libéralisante, culpabilisante et destructrice.
Non, le monde n’est pas seulement du PNB.
Si vous avez des enfants, ne voyez-vous pas en eux autre chose que la prospérité française de l’emploi salvateur ?