Penser que les « trois religions asiatiques du Livre » seraient quasiment les seules dans leur position est légèrement réducteur, mais tellement répandu..
"Le bouddhisme n’aborde pas explicitement le sujet de l’homosexualité, mais il prône globalement de garder la maîtrise des sens. Les interprétations varient dans le détail mais la tendance globale est de reconnaitre la seule sexualité hétérosexuelle en vue de la procréation et de rejeter la recherche du plaisir « pour le plaisir ». Donc de l’homosexualité. Le Dalaï Lama, représentant suprême du bouddhisme tibétain s’est clairement exprimé sur le sujet[8].
Dans l’hindouisme,
le plaisir n’est pas perçu comme un mal : c’est un don de Dieu. Le
péché de la chair n’existe pas comme dans le judaïsme ou le
christianisme, et de nombreuses sculptures sensuelles voire érotiques
sur les parois externes des temples sont là pour en témoigner. En
revanche, le plaisir charnel est accepté et acceptable uniquement dans
la mesure où il est hétérosexuel et consommé dans les liens du mariage.
Comme en Europe, différentes époques ont apporté différents degrés de
tolérance mais faire de l’hindouisme et de ses divers… avatars (sikhisme, jaïnisme, bouddhisme, etc.) un havre homophile serait un contresens.« Wikipedia.
Ou encore :
»Si dans le Japon ancien, l’homosexualité masculine était connue, le sujet est tabou dans la société contemporaine..«
On est loin du consensus, ,que ce soit dans l’occident islamo-judéo-chrétien ou ailleurs ..
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