De fait il faut dissocier deux intentions, et c’est parce que leur dissociation n’ets pas faite qu’il y a cette difficulté dans les interventions qui précèdent :
1/ il y a le phénomène de mode et la spectaculaisation qui est motrice en elle. Ce vecteur est celui de certains journalismes, qui iront voir Thuram, non parce qu’il peut réféléchir véritablement à laquetsion, mais parce qu’il est médiatiquement porteur. Ici nous rejoignons je pense les analyses de Debord dans La société du spectacle
2/ de l’autre, il y a ce qui est souligné par de nombreux intervenants : à savoir que la démocratisation des débats conduit à une horizntalisation du politique, permettant à des intérêts et des points de vue différents de se rencontrer et de s’interroger. ce qui conduit par exemple, si on considère les inter-relations entre médias spécifiques à des possibilités par exemple d’expansion parfois imprévisible (petite brève internet qui devient grande dans des médias traditionnels).
En cela, si on ne peut accuser l’intention de toute personne à vouloir intervenir dans un espace publique, il reste qu’il est nécessaire de toujours juger avec prudence l’intention médiatique qui provoque cette parole, qui l’appelle à s’exprimer.
En effet, la démocratie ets un lieu de devenir et non pas un lie de réduction de soi à une simple et seule position dans le « corps politique ».
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