J’ai lu cet article en deux temps. La première fois, j’ai lu la première phrase et je me suis arrêté. J’avais compris qui était le(s) méchant(s) et de qui je devais avoir peur. Avant la moindre analyse, j’avais déjà la conclusion de votre article a savoir "L’ONU fait partir du fameux complot anti-juif avec les européens (qui préfèrent les arabes), et les démocrates athées). Et puis comme j’avais beaucoup de temps à perdre, j’ai continué la lecture. Je n’y ai rien a appris de nouveau. Non je n’ai pas été offusqué par la carte sans Israël, non je n’ai pas été offusqué que Monsieur M. Badji « invite tout le monde, ici présent, à se lever et à observer une minute de silence en mémoire de tous ceux qui ont donné leur vie [] pour le retour de la paix entre Israël et Palestine ». Vous voyez, moi aussi je peux arranger les phrases des autres. Vous avez juste occulté le mot « PAIX » dans votre analyse, j’ai occulté une autre partie. Je termine rapidement par les résolutions de l’ONU. Israël est le pays contre qui le PLUS de résolution ont été votés. Israël est le pays pour lequel les USA ont utilisés le plus leur veto afin (de rejeter des résolutions hostiles) Israël est le pays qui ne respecte pas le plus de résolution (des centaines de résolutions restent inappliquées) et ce, depuis une quarantaine d’année. Si un autre pays avait bafoué l’ONU comme le fait Israël, ce pays ne serait plus sur la carte depuis longtemps.

Je comprends donc tout a fait la méfiance de l’ONU face à un microscopique pays qui fait un bras d’honneur permanent aux règles internationales.

PS : je suis français, jeune, catholique. Malheureusement pour votre réponse, je ne suis ni du FN, ni musulman, ni dans aucune assos ou secte et je n’aime pas Dieudonné. Je suis juste libre de penser comme la majorité des européens que la plus grande menace pour l’avenir sont 1/ Israël * 2/ USA * 3/ le terrorisme *

Sondage commandé par l’ EU en 2003 sur la "l’Europe face au monde

PS2 : pour votre texte, merci de faire la conclusion APRES l’analyse et ainsi, ne pas dire ce que doit penser le lecteur dès la première phrase.