« C’est un dialogue qui est rompu : on a un refus des jeunes de considérer les forces de l’ordre, et également un refus de la police de se soumettre à un règlement. Quand vous revoyez ces images de policiers qui bafouent leur code de déontologie […] »
Le bon prétexte.
Il y a un soucis, les pompiers et même les médecins se font caillasser. Moi même, quand j’ai dû réaliser une étude urbaine j’ai été empêcher de prendre des photos dans la rue par une bande de « jeunes ». Pourtant je ne suis pas policier. Une de mes connaissances a eu moins de chance que moi et s’est déjà fait frapper par une bande pour avoir pris des photos.
La seule raison qui motive ces désœuvrés a s’en prendre à la police (entre autres) c’est la volonté de s’approprier le territoire. Par ma propre expérience je l’ai vu et on ne me fera pas croire qu’il s’agit d’une population ostracisée victime des violences policières. Ce sont plutôt les personnes obligées de vivre à côté de ses bandes qui subissent leur violence.
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