Le Pentagone-coupe-frites et l’avion-patate ! Je crois que je me souviendrai toute ma vie de cet exemple hillarant, où monsieur Jourdain fait de la pataphysique (science des solutions imaginaires) sans le savoir, voire de la patatephysique ; c’est Bouvard et Pécuchet réunis en en seul homme.
Plus sérieusement, ce qui fait l’efficacité d’un coupe-frites, c’est qu’il a une aire frontale de coupe quasi-nulle (comme une lame de couteau), la quasi-totalité de son aire frontale étant faite des trous. Il est donc très exagéré, très audacieux, de comparer le Pentagone a un coupe-frites, alors que les fenêtres (qui ne sont pas des trous d’air d’ailleurs), occupent une bien mineure partie de la surface : plutôt que de passer en lamelles, on aurait dû retrouver plein de morceaux de patates écrasées devant ce coupe-frites bien mal affuté... J’aurais aimé au moins voir la dérive de queue...
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