Les éditeurs ont toujours exercé un diktat sur la litterature. Qu’est-ce qui fait qu’ils soient plus apte pour selectionner les écrits bons à publier ? Rien, à mon sens, ne serait-ce que l’expérience de la rentabilité commerciale. Il est evident que les editeurs privilégient les écrits qui se vendent - mais est-ce vraiment un critère de qualité de contenu ? En genéral, c’est plutôt des livres qui chuchotent aux gens ce qu’ils ont envie d’entendre, qui se vendent. En aucun cas ce n’est la mesure, ni de la qualité littéraire, ni de l’intérêt du contenu.
Avec Internet, l’essence même de leur dictat se retrouve remis en question. Alors ils flippent, jettent la faute sur Google, Internet, l’Immatériel. Ils essaient de nous faire croire que d’autres choses que le contenu soient aussi importants : le papier, que l’on peut humer, palper, ecouter le doux bruit quand on tourne les pages .... Un peu comme les charretiers vantaient les merites du transport à cheval par raport à la voiture : le doux bruit des férs contre les pavés, le fumet inimitable des crottes ....
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