Cette histoire, une de plus, est donc présentée comme une plaisanterie de mauvais goût. Elle est située dans le cadre d’une blague causant un préjudice moral.
Mais alors, que dire lorsque ces genres de propos servent sérieusement d’argument à un non moins personnage influent pour justifier une escroquerie à laquelle il se livre et qui, plus est devant un tribunal ?
Que dire lorsque, les juges scandalisées par ces propos, rappellent à l’ordre ce fameux personnage influent et que ce dernier prononce une sanction contre la présidente de la troisième chambre civile du TGI Paris ?
Que dire lorsque l’on découvre qu’une présidente de tribunal est virée pour avoir osé défendre les principes républicains ?
Cela parait invraisemblable et pourtant les faits sont là et bien là