Le journalisme traditionnel n’exprime plus que la voix de leurs maîtres, financiers et politiques. De renoncement en renoncement, les « professionnels » en sont venus aux plus grandes lâchetés, parce qu’il faut bien crouter, et que tout manquement se termine à pôle-emploi.
Le dernier espace de liberté est le net, avec toutes précautions à prendre quant à l’information qui y est transmise, bien entendu.
C’est la raison pour laquelle il est impératif pour le pouvoir d’en prendre le contrôle par petites touches, réduisant chaque jour un peu plus l’espace d’expression et selon la technique de la grenouille lentement échaudée.
Le jour où cet espace sera circonscrit, nous serons en dictature, et l’emploi pourra enfin revêtir sa nouvelle forme, un esclavage moderne qui ne dit pas son nom.
Et si ce n’est pas sûr, c’est quand même peut-être.
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