Dans un récent article intitulé « Restauration : des client dupés ou pris en otage ! », je faisais déjà fait le constat de cette carence de baisse de la TVA en m’appuyant sur une enquête à Rennes. Mes observations en d’autres points du territoire ont confirmé ce constat négatif.
Cela étant, il est un peu excessif d’amalgamer tous les restaurateurs dans l’opprobre, car si elle est justifiée pour la plupart, force est de reconnaître que quelques établissements étaient en grande difficulté, du fait notamment de la crise économique.
Cela dit, il est évident que la majorité n’ont tenu aucun des engagements pris par leurs syndicats dans le cadre des « Contrats d’Avenir ». Et la palme de l’hypocrisie revient à Christine Pujol, présidente de l’UMIH (Union des Métiers de l’Industrie Hôtelière) qui affirme maintenant sans rire que cette baisse de la TVA n’a jamais été une priorité de la restauration.
C’est sans doute vrai, mais c’est aux antipodes des discours tenus par l’UMIH et le gouvernement qui, en amont de l’accord européen, ont fait miroiter aux consommateurs une baisse significative la TVA en sachant pertinemment qu’elle serait très partielle, pour ne pas dire dérisoire !
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération