Olivier,
En lisant l’article, j’ai compris que le ferroutage, version suisse, n’a pas d’avenir, car peu pratique et non rentable. J’ai compris également que deux ingénieurs, MM. Margery et Desmoulin, ont imaginé un nouveau concept nommé r-shift-r. Bien que je ne sois pas de la partie, j’ai été intéressé par votre article en raison de l’impact économique potentiel de ce concept. J’ai donc téléchargé le dossier apferroutage.pdf et je l’ai lu. J’avoue que malgré toute ma bonne volonté, n’y ai pas compris grand chose.
Si les décideurs de RFF et de la SNCF n’ont pas eu d’autres explications que celles qui sont dans le dossier, pas étonnant qu’ils soient sur la réserve. Je vous conseille de retravailler le dossier, en particulier les figures.
Les points forts à mettre en valeur me semblent être :
1. Séparation des opérations embarquement/débarquement et chargement/déchargement (mais je n’ai pas bien compris ce que cela veut dire)
2. Utilisation d’un élément amovible de votre conception, le « pratiquable ».
Est-ce que je me trompe ?
Tenez bon.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération