Effectivement. Dans ma modeste expérience de syndicaliste, habitué à utiliser uniquement les textes qui concernent ma profession et ma corporation, le droit (administratif le plus souvent) m’apparaît déjà comme un inextricable maquis ; tout y est à peu près aussi clair que du jus de chaussette. L’avalanche de textes est telle que j’oublie généralement tout lorsque je passe d’un dossier à l’autre. Misère ! Et c’est bien fait exprès pour qu’on ne s’y retrouve plus...