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La stratégie est simplissime : on multiplie les petites interdictions qui à leur tour produiront des incompatibilités majeures.
Et on est alors estomaqué par la logique des conséquences.
Le fumeur prend quelques minutes pour fumer parce que précisément on l’a obligé à sortir pour satisfaire son « vice ». Maintenant, on trouve qu’il ne devrait pas sortir.
S’il ne sort plus, on trouvera une autre « étude » à la noix pour prouver qu’il est méchant avec ses collègues et que c’est dû à un sentiment de manque...qu’il a un rendement plus faible : on l’obligera à aller chez les « fumeurs anonymes » ou à démissionner sinon.
Bien sûr, la sécu ne paiera pas la cure. On défalquera les journées de thérapie de sa paie.
On lui enlèvera ses enfants parce qu’il les empoisonne. Il divorcera et son conjoint exhibera tout ce dossier pour lui faire la peau devant le juge.
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