je sais plus qui a dit :
« le capitalisme a bouffé le communisme,
maintenant il ne lui qu’a se bouffer lui-même »
(Assez prophétique, non ?)
en nous bouffant aussi par la même occasion, c’ets pas le genre à faire dans la
dentelle comme on a pu s’en rendre compte.
Le communisme ou le capitalisme en fait c’est la peste ou le choléra
Si l’échec du modèle communiste a bien montré une chose c’est qu’on peut pas vivre
ensemble, du moins on a pas encore trouvé comment. La raison ? La nature humaine.
Si avec toutes les connexions faites aujourdhui entre les gens par la technologie, on n’arrive
pas à trouver comment, moi j’dis c’est qu’on doit être vraiment foutrement mauvais.
Yann-Arthus Bertrand = Hulot = culpabilisateur de la masse, du pauvre qui n’a rien d’autre à
glander que de regarder la télé pour recevoir des messages de moralisateur à deux balles à
longueur de journée parce qu’il a pas l’argent pour se payer 20 voyages (j’exagère à peine)
par an. Pour ceux qui ont la chance de tourner en rond autour de la terre au lieu de tourner en rond dans son salon télé, ça ne leur permet pas d’apprécier la beauté du monde qu’ils ont la chance de
parcourir, vu que dans leur majorité ils n’ont aucune culture. Mais ça a quand même
comme bon côté de leur permettre de ne pas être emmerdé par ce flot de conneries
cathodiques culpabilisatrices qui causent plus de suicides et de cancers que le tabac et l’alcool réunis (si on vous dit à la météo de tf1 que l’oeil de la tornade qui est à l’ouest de l’europe est du au réchauffement climatique, donc du à VOUS, c’est que ça doit être vrai non ? NON !)
« Une partie de l’humanité vit un rêve et le reste doit se contenter de le rêver »
ça, je me souviens de qui c’est : Alexandre Soljenitsyne, lequel a bien entendu été déporté,
pas pour ces propos mais d’autres qui étaient de la même veine ; à savoir dénoncer le
pouvoir tout en mettant en garde les gens, ce qui aujourdhui comme à l’époque revient au
même.
Je ne résiste pas au plaisir de citer aussi ces paroles contenues dans un film de Annaud (Stalingrad).
« il n’y a pas d’homme nouveau : il y aura toujours quelque chose à envier à l’autre, un amour, un talent »
La jalousie de l’autre en n’arrivant pas à se contenter de ce qu’on a déjà c’est peut-être ça qui va nous perdre.