Article qui avec précision, démonte les mécaniques sordides que Frédéric Mitterrand emploie pour jouer les victimes, provoquer la compassion et jeter un écran de fumée sur son égoïsme sans scrupule.
Cet égoïsme minable qu’il a si bien décrit dans son livre, espérant ainsi plaire aux yeux du petit monde parisien de quelques pseudo-lettrés qui, comme vous l’avez très bien dit, à défaut de talent, étalent les mauvais sentiments.
Finalement, Frédéric Mitterrand est le parangon de ce milieu où on cultive surtout les dettes et les copinages, les apparences. Un milieu se reconnaissant à un sentiment d’élitisme qui d’avance excuserait tout. Tout : le moche, le sordide, le sale. Les vraies victimes ? Ces gens-là s’en foutent. Elles sont pauvres et sans voix. Elles n’ont aucune chance, jamais, de toucher leurs habits. Ni de disposer du 20 Heures à la télévision pour faire entendre leur cri.
Derrière les mots et les gestes de cet acteur déplorable, ce que j’ai entendu, c’est pourtant ça : le silence des petits, des anonymes, des vraies victimes.