Les affaires s’ajoutent.
Hier, un « neveu de », parvenu à son ministère par le nom qu’il porte. Ne le lui dites pas, lui croit dur comme fer à un mérite personnel.
Ministre dont on découvre la mauvaise vie « privée », cette vie qu’il a étalée lui-même complaisamment, où il raconte sa descente dans l’enfer des autres, des indigents, comme ces aristocrates victoriens qui allaient s’encanailler dans les « mauvais » quartiers de Londres.
Aujourd’hui, un « fils de », ou plutôt, « le fils de », à qui l’on réserve un poste d’une dimension considérable, sur son nom seul.
Et le mouvement s’accélère : c’est un immense retour en arrière, vers l’Ancien régime et ses privilèges, sa licence, ses passe-droits, ses noms et ses titres.
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