Entre ici, Jean Sarkozy,
Avec ton bienheureux cortège
Avec ceux qui ont bénéficiés de passe-droit sans avoir parlé ;
Et même, ce qui est peut-être plus atroce, en ayant parlé ;
Avec tous les replets et les bénéficiaires de ce parti,
Avec le dernier corps trébuchant des affreuses files de fils de, enfin adoubé par son père,
Avec les dizaines d’amis de papa, qui sont venus au Fouquet’s
Avec le dernier nouveau centriste promu pour avoir aidé l’un des nôtres.
Entre, avec le peuple bien né de Neuilly et resté dans celle-ci,
Nos frères dans l’ordre des nantis.
Commémorant l’anniversaire de la prise de l’Elysée, je disais :
« Ecoute ce soir, jeunesse de mon pays,
Ces louanges de nos amis qui sonneront comme celles d’il y a deux ans.
Puisses-tu, cette fois, les entendre : elles vont sonner pour toi. »
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