En 2006-2007, elle s’était positionnée très (trop) tôt comme présidentiable. Elle a connu un pic de popularité, puis l’enthousiasme est retombé dans les semaines qui ont précédé l’élection présidentielle. La fascination avait fait place à la saturation. La faute en partie aux primaires, qui obligent à se dévoiler trop tôt et permettent aux candidats des autres partis de préparer la contre-attaque. Bayrou avait bénéficié d’un meilleur timing. Pour l’heure, Ségolène ne cherche pas trop à se profiler, elle préfère rester en retrait. On n’est qu’à mi-quinquennat et elle n’a certainement pas perdu toute ambition...
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