Il faut évidemment critiquer l’art contemporain. Et dire sur tous les toits quand on trouve que c’est nul. Mais critiquer pour critiquer l’AC (AC comme on dit dans l’article) rend le discours trop réducteur. Du coup, on a l’impression que l’on a affaire à un critique hermétique à l’AC et dans ce cas, c’est un retour en arrière. Oui pour critiquer les idioties des contemplateurs de débilités, non pour dire que tout est du pipeau. Par exemple, le trajet de Klein n’a rien à voir avec Alphonse Allais... A force, on va culpabiliser quand on dira sincèrement « j’aime bien cette oeuvre ». Je trouve ça dommage.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération