Le titre m’interpelle. Que vais-je découvrir ?
L’histoire d’un homme, son parcours, ses interrogations, ses vérités.
J’en partage certaines, je ne suis pas d’accord sur d’autres.
Je vais me loguer pour expliquer mes différences de point de vue et poser quelques questions de bienséance.
Puis je ne sais pas pourquoi je commence à lire les commentaires.
En les lisant les uns après les autres, je n’ai plus envie d’affirmer mes divergences.
Les préjugés des uns, les vérités des autres m’horrifient.
Dans certains commentaires, je n’y vois que la lâcheté de bien-pensants, de ceux qui ont peur.
Aucune écoute, aucun accompagnement. Ont-ils lu cette tribune libre ou n’est-elle que le prétexte pour qu’ils puissent exprimer leurs frustrations, mettre en avant leur savoir .
Au dernier commentaire, j’ai un mouvement de recul et j’ai souris.
Grâce à ta tribune, les gueux se découvrent avec leur locution latine.
Au RSA, les gens ne sont que désargentés, ils ne sont pas démunis.
Ils ont le courage d’avoir dit NON !
J’entends déjà certains dire qu’ils n’ont pas choisit le RSA, que c’est dur.
Oui c’est vrai ! Mais qu’ils n’oublient jamais que ce n’est qu’un problème d’argent temporaire.
La dignité n’est pas dans le portefeuille, ni dans le verbatim.
Merci de m’avoir permis d’avoir pu lire cette tribune même si je ne partage pas tous les points de vue exprimés.
Elle est simplement authentique contrairement aux vrais gueux.
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