C’est très simple, à mon sens, notre société a perdu ses derniers anticorps - dès que le violeur relaché stupidement par ce juge d’application des peines (à qui l’on devrait demander des comptes) a osé s’installer à quelques centaines de mètres de sa victime, les gens du village auraient dû lui faire passer toute envie d’y rester. Au besoin en le suspendant à un lampadaire. Et la malheureuse joggeuse serait encore en vie.
Quant au criminel, ces histoires de castration chimiques ne m’intéressent pas - j’aimerais simplement qu’on se débrouille qu’il ne passe pas les prochaines années aux frais de la communauté - pour, in fine, être libéré une fois de plus sur l’intervention d’un magistrat irresponsable.
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