« le Dalaï-lama s’est exprimé, d’une part pour féliciter le président Obama pour son prix Nobel de la Paix, et d’autre part pour affirmer qu’il ne souhaitait pas perturber les relations entre la Chine et les Etats-Unis, »
Le seul fait qu’à chacune des visites du Dalai Lama dans un pays se pose la question du « recevra ? / recevra pas ? » montre sans la moindre incertitude l’importance du personnage, d’autant plus que ses visites risquent de perturber les relations entre la Chine et le pays visité, comme il le souligne lui même.
Si tout le monde le recevait systématiquement quand il se rend dans un pays, la Chine ne pourrait tout de même pas passer son temps à se mettre en colère contre tout le monde.
En plus de vivre en exil, poser problème à chaque fois qu’il se déplace quelque part ne doit pas être évident. J’admire la patience et la persévérance (et le « fair play » si je peux dire, bien que ce terme soit plutôt utilisé pour des sportifs, comme l’était Bjorn Borg) du Dalai Lama. Deux qualités qui finissent toujours, tôt ou tard, par donner des résultats positifs.
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